mercredi 28 janvier 2015

Concéder.

Céder avec connerie ?

Ou céder avec... ?

Ou con s'aider, c'est-à-dire "qu'on s'aide" !!

Lorsque le corps lâche.

"Mon corps lâche".
Dois-je le consolider ?

"Je lâche plein de choses".
Dois-je raffermir mes positions ?

Je ne me bats pas assez.

Suis-je lâche ?






mardi 27 janvier 2015

Transformation. De la femme à la mère.

Qu'est-ce qui crée la transformation de la femme ?

Est-ce le fait de devenir responsable d'autres personnes qu'elle en devenant mère ?

Est-ce dû au fait de sa transformation corporelle ?

Est-ce dû à son changement de priorités liées à ses nouvelles responsabilités ?

Est-ce dû au regard des autres ?

Est-ce elle seule qui se voit différente ?

Est-ce lié à la réorganisation du temps ?

Est-ce à cause de raisons financières ?

Est-ce dû à une modification des territoires amis ?

Est-ce dû à une redirection de ses loisirs ?

Est-ce parce que sa transformation corporelle ne lui permet plus les mêmes activités ?

Est-ce dû à .... ??

Souvenir d'extase.

C'était le soir.
Souvent, le soir.
Après une longue journée.
Une seule envie, un seul besoin.

M'enfermer.
Pour écrire, raconter.
Tant de choses à mentionner.
Tant d'instants forts à raconter. 

Seule. 
En musique.
Avec papier et crayon.
C'était parti, jusqu'à douleur dans la main.
Ou un appel comme celui du "tu viens dîner ?"

Plus qu'une échappatoire. 
C'était un besoin vital.
Un exutoire total.
Un orgasme.

Il fallait écrire à tout prix.
Il fallait le dire.
Exprimer.
Tout.

Le plus insignifiant ou le plus important.
Le petit truc qui arrivait en tête.
Parfois illisible pour le futur,
Ou bien écrit pour le futur.

Quelques cahiers sont conservés...
Bien des papiers sont jetés...
Dans quel but ?
Quelle visée ?

...


Nomadisme.

La route.
Rouler, voire beaucoup de choses et ne jamais s'arrêter.

La route.
Ne faire toujours que passer.

La route.
Sans début ni fin. 

La route.
Il ne reste plus qu'à choisir entre des voies... déjà tracées.

La route.
En dépendre.

La route.
Voire tout de loin... et rien de près.

La route.
Métaphore de vie ?

samedi 24 janvier 2015

C'est ça.

Je suis comme tout le monde.
ça me fait terriblement chier.

J'ai en horreur la normalité.

Passion.

Je regarde whisplash.... Et je pleure.

Je pleure très fort.
Je n'ai jamais aimé la normalité.
J'ai toujours aimé les experts.
Et je m'entoure d'experts.... Et je reste normale. Insuffisante. En-dessous de mes capacités.

Comment en suis-je arrivée là ?

Visage : masculin ou féminin ?

Ce que je sens : mon visage me tiraille.

Ce que je comprends : ma vie sage me tiraille.

La crème va-t-elle suffire ?


Compétence vs existence ?

Au choix :

1-Un travail adapté à nos compétences, dans lequel les difficultés sont, mais moindres,
2-Penser à Dan Millman : "ce pourquoi nous sommes faits n'est pas ce pourquoi nous avons le plus de facilité".

Bilan ? Naissance de la persévérance...

dimanche 18 janvier 2015

Reprise du travail.

Ce qu'il y a de certain,
C'est que la reprise du travail,
Même si difficile,
Même si demande du courage quand ce dernier ne se passe pas au mieux,

Ce qu'il y a de certain,
C'est que cette reprise fait du bien.
Et offre un peu d'autre chose,
Que la principale influence du conjoint.

Ce qu'il y a de certain,
C'est que cette reprise offre un miroir,
Sur ce que je suis devenue.
Je m'entends parler et je me dis : ce n'est pas possible, ma fille,
Tu dois te reprendre.

A effet immédiat.





Amour amour...

Quand on vous offre une superbe boîte destinée à conserver tous les souvenirs de votre bébé,
que les premières pages s'intéressent à la rencontre des parents,
et que ni l'un ni l'autre ne souhaite les remplir...

Vous vous posez des questions sur l'amour profond qui vous unit.

Et pourtant...

mercredi 14 janvier 2015

Solution.

Il y a toujours une solution.
Il y a toujours pire comme situation.

Bosse, ma belle.
Pense à toi.
Agis pour toi.
ça passera, et tu y arriveras.
ça te grandiras, tu verras.


mardi 13 janvier 2015

Qui pour m'aider ? Moi-même.

Qui d'autre que moi peut m'aider ?

Je me mets seule dans le pétrin et je demande de l'aide pour m'en sortir... Pas logique.

Et pourtant, j'ai besoin d'aide.
Au moins pour me donner des pistes d'action.

Si je me regardais, je dirai :
1-Dès que tu as quelques minutes, travaille, ou dors 10 minutes si tu es très fatiguée.
2-Quand tes enfants sont réveillés, occupe-t-en.
3-Privilégie le travail à TOUT le reste (sauf tes enfants).
4-Gère les problèmes quand ils arrivent. Ne t'en crée pas davantage.
5-Si quelque chose te déplaît, essaye de ne pas reproduire ce moment. Si tu n'as pas le choix, accepte-le, au moins il ne te fera pas mal.
6-Ne répercute pas ta mauvaise humeur et tes problèmes chez les autres. Ils n'y sont pour rien. Et ça ne fera qu'empirer le nombre de personnes qui t'en veulent.
7-Les autres n'y sont pour rien. Dis ce que tu penses, calmement, lorsque tu le peux, sinon écris-le, sors-le mais d'une autre manière que par la colère.
8-Tu es bloquée ? Règle le problème.
9-Souris. Force-toi à sourire. Le sourire atteindra les autres et se répercutera sur toi. Nous sommes tous des miroirs.
10-Comme tu n'as pas beaucoup de temps, dépêche-toi de travailler. Et cesse de pianoter.
11-Au fait, trouve-toi un moyen de libérer ton énergie dans un champ de possible. Avec tes enfants à proximité.
12-Transforme ta prison en maison de rêve.


Ce qui m'horripile (encore).

Ce qui m'horripile ?

Ce sont ces concessions, nombreuses, pour le plaisir et les loisirs de Monsieur.
Ces concessions ne sont pas dues à un choix volontaire, à une organisation en duo.
Elles ne sont pas pensées, réfléchies.
Je sauve juste le couple et la famille en prenant sur moi.

Du coup j'ai la jambe gauche bloquée, le cou (niveau du trapèze, haut de l'épaule gauche) bloqué, le poignet gauche bloqué.
Gauche = sphère féminine, affect, émotions, sentiments... On est en plein dedans.

Quand je tente de parler entre "adultes" (discussion posée où chacun exprime son point de vue, l'un après l'autre), ça dégénère tout de suite.
"-Dis, j'aimerai donner un cours de telle heure à telle heure, tu pourrais récupérer les enfants ?
-Qu'est-ce que tu me dis que c'est vraiment pour ça ? De toute façon je n'aurai plus jamais confiance en toi. Et si je te "goale" encore une fois je le dirai haut et fort devant tout le monde"

(!!!!) = cris de détresse !!
Qu'ai-je fait ? Non mais qu'ai-je fait ? Qu'ai-je fait pour vivre cette parano destructrice ? Continuellement et encore ?
Parce que j'ai souri à quelqu'un que je ne connaissais pas ?
Laissez-moi sortir de ce cauchemar ! Ce n'est rien d'autre que ça et j'ai toujours les larmes bien dans la gorge.

Tiens je viens de faire le lien : tout est bloqué. Même (et surtout), les larmes.
ça ne changera rien mais je vais pleurer un peu, là. ça nettoiera peut-être...

samedi 10 janvier 2015

Femme et mère : le conflit.

Pourquoi conflit entre ces deux statuts ?

Peut-être parce qu'en tant que femme je vais agir d'une certaine manière, et qu'en tant que mère j'agirai différemment.

Le conflit n'est-il pas plutôt interne qu'externe ?

Fumer le matin.

Fumer une cigarette dès le matin ?
C'est commencer la journée par s'encrasser, par s'auto-détruire, par intégrer de la saleté dans son corps...
C'est se dire : je n'aime pas mon corps, je ne m'aime pas, alors autant lui donner des mauvaises choses.

Quel est l'intérêt ?

vendredi 9 janvier 2015

Que dire ?

Que dire lorsque la parano refait surface ?
Cette parano absurde qui, laisse des traces de plus en plus profonde et endommage notre quotidien...

Combien de fois vais-je faire le pas pour nous rabibocher... encore ?

jeudi 8 janvier 2015

Fatigue.

Fatigue, fatigue, fatigue.
Méchanceté gratuite.
Violence physique.
Tirage de gueule.
Mauvais esprit.
Usure de soi.
Fausseté.

Dormir.

Etre fier.

Tu n'es pas fier de ton corps ? Entraîne-toi.
Tu n'es pas fier de ton boulot ? Travaille.
Tu n'es pas fier de ta vie de famille ? Modifie ta façon d'être dans la relation aux autres.
Tu n'es pas fier de tes paroles ? Tourne ta bouche avant de parler.

Tu n'es pas fier de toi ? Change.

mercredi 7 janvier 2015

Si j'avais du fric.

Si j'avais du fric,
J'arrêterai de travailler maintenant,
pour chercher quelque chose qui me plaise et s'arrange avec ma vie de famille.

Si j'avais du fric.

Seule en famille.

Avoir une famille.
Etre mère, femme, épouse...
Vivre à plusieurs,
Et se sentir seule comme jamais.

mardi 6 janvier 2015

Prison.

Je ne sais même pas quoi écrire.
Il le faut pourtant.
Enoncer quelques mots de cette situation...

J'apprends une bien triste nouvelle qui va impacter notre noyau familial, qui va me demander d'être forte... Mais je me dis que c'est la vie, c'est ainsi, nous devons juste gérer les aléas au fur et à mesure.

Quelques heures plus tard, j'apprends que je vais devoir me retrouver seule pour gérer une situation alors que c'est pour le bon plaisir de l'autre...
Je me dis tout l'inverse. Et j'enrage, puis je colère, enfin je boude puis ça passe car ni la discussion, ni la bouderie, ni rien ne changeront quoi que ce soit.

La seule chose que je comprends c'est la gestion de l'énergie.
Autant je suis capable de déplacer des montagnes pour aider, faire avancer...
Autant je suis capable d'utiliser cette énergie à des fins destructrices si j'apprends qu'on m'utilise et que je ne suis qu'une servante, qu'une potiche, qu'une femme au foyer sans ambition. Je peux même devenir mauvaise, lorsqu'on m'emprisonne de la sorte.

Il est donc question de prison.
Prison pour aider : oui. Et ce n'est même plus considéré comme prison mais comme engagement voire dépassement.
Prison par obligation : non.


samedi 3 janvier 2015

Femme pressée.

Je suis pressée de tout.
De préparer mes cours, de mettre les élèves en situation, de finir pour passer à autre chose, de... tout.

Comment prendre son temps ?

J'ai toujours envie de faire autre chose que ce que je ne fais.
Là par exemple, j'ai 2-3h pour préparer mes cours, je les ai écrits, baclés, et je n'ai qu'une envie, faire autre chose, même si je ne sais même pas quoi !!

Quel est le problème ?

vendredi 2 janvier 2015

Auto-coaching.

Qui mieux que nous-même pourrait nous dire ce que nous devons faire ?

Nous sommes notre propre coach.

jeudi 1 janvier 2015

Tranquille vs tourmentée.

Tranquille ? Musique, créations, cadeaux pour gens que j'aime.
Tourmentée ? Rien, séries, néant.

Usure quotidienne.

Je m'étais dit que je ne dirai rien.
Je m'étais dit : "ne réponds pas, il le fait par habitude, ça ne vaut pas la peine que tu répliques et que tu te fatigues l'esprit. Ne prends rien au 1er degré. Rien."

Sauf que.
Entendre 10 fois par jour la même remarque moralisatrice comme quoi je suis sur le PC en train de jouer ou de parler à "je-ne-sais-qui" alors que je travaille... c'est fatiguant.
Déjà parce que j'ai du mal à me concentrer, ensuite parce que derrière l'humour se cache toujours une part de vérité.

Et il me le confirme, il pense vraiment que je ne travaille pas quand j'envoie des mails à mes collègues.

Mais où va-t-on ?

L'illettrisme n'est donc pas qu'un problème pour celui qui le vit.
Pour l'entourage, c'est un véritable fléau.

L'attitude qui consiste à s'en foutre et à ne pas vouloir discuter est également un problème.
Pour l'entourage, c'est un véritable désastre.
De vouloir discuter du problème en adulte, et de ne pouvoir au final exposer son point de vue sous prétexte que "allez, allez, allez, c'est bon là, retourne dans ta niche"... ???

Mais qu'ai-je fait ?
Pour m'associer avec quelqu'un qui parle grossièrement, qui est toujours scotché devant la TV, qui fume et qui boit tout le temps et qui n'accepte aucune remarque ?

Je ne comprends rien à mes choix.

Vraiment.