lundi 2 janvier 2017

7 jours de paix.

Je suis partie un dimanche.
Tu as voulu faire comme si de rien, comme s'il ne s'était rien passé la veille, 24 décembre 2016.
Je t'ai demandé de t'excuser, tu l'as dit, sous forme ironique et jouée "je m'excuse par't'naire"
...
Le lendemain a été difficile.
Puis les jours ont passé, je ne t'ai pas appelé.
Jusqu'au jeudi, j'ai répondu à ton message.
Tu m'as tout de suite demandé pourquoi je ne t'avais pas appelé avant.
Je te l'ai dit : "je ne voulais pas".
Bref, et tes reproches ont recommencé.
A distance, je n'ai pas voulu qu'ils me touchent.

Jusqu'à vendredi, je suis rentrée.
La soirée était tranquille, moi fatiguée par 8h de route,
Toi de bonne humeur avec mon père présent.

Et dès le lendemain, tout a pété.
ça n'aura pas duré longtemps.
J'étais en faute sur toute la ligne, je te laissais les enfants (pour aller faire les couses, génial !)
Et dès que je demandais quelque chose tu râlais, grommelais, bref, le top.

Dimanche matin tu étais absent
Dimanche après-midi, tu as fait une looooongue sieste
Et aujourd'hui.
Ton copain ivre arrive chez nous.
Tu lui sers l'apéro (c'est normal)
En repartant il n'arrivera même pas à trouver sa voiture.
Et alors que je prépare le repas des enfants, tu m'engueules.
Je ne trouve pas d'autre mot.
Tu m'insultes, d'aller me faire sauter par mes collègues, de ne pas avoir fait la vaisselle ce midi (?), et de tout un tas de truc. Mais l'histoire de me faire sauter revient plus que les autres.
Et j'ai compris encore une fois qu'il ne fallait plus que je te parle.
Parce que tu prends TOUT mal. Et surtout que je fasse du covoiturage avec d'autres personnes.

Ta jalousie te pourrie, me pourrie, elle est un poison et un pretexte à ta méchanceté.
Ce soir tu as été trop loin : tes mots souvent me blessent mais mon cou me fait encore mal.

Punaise ! Comment puis-je accepter de vivre avec un type qui mange tout seul devant la TV pendant que ses enfants sont à table et qui me détruit en même temps ?
Et mon fils qui dit "Papa, té-é"
Oui, papa regarde la télé. Et il est fatigué.

Comment faire la différence entre la gentillesse et la bêtise ?
si je me révolte, ça finit mal.

Tu es... un poison pour mon existence.... mais il y a nos enfants.

Et moi.
Et je dois avoir peur de vivre seule avec nos deux chéris, car sinon je l'aurai déjà fait.
En quoi ai-je donc foi ?

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